Attention, le livre que vous avez entre les mains est proprement renversant. Il dépeint les luttes fratricides menées au sein de la lignée divine de nos mythologies, et surtout l'histoire d'amour la plus extraordinaire que l'humanité ait contemplée, puisqu'elle y a puisé ses racines fondatrices.
Cette saga amoureuse et l'assassinat qui en a résulté ont façonné les fondements mêmes de notre monde dans le secret le plus absolu. Tous les mythes créateurs et les textes sacrés, des tablettes sumériennes au Nouveau Testament, en passant par les écrits bibliques, les évangiles gnostiques et autres, évoquent de manière codée des êtres concrets et des faits historiques que les scribes et le clergé de la haute antiquité ont voulu à la fois camoufler et remanier, tout en conservant une mémoire ténue de ces événements.
Cet épais voile de mystères avait un objectif : dissimuler au cour de l'homme une quête particulière de la liberté spirituelle et physique, ainsi qu'une des contestations possibles de l'autorité - la plus subversive qui soit ! Derrière la Bible et le Nouveau Testament, derrière Jésus, Marie, la Croix, le caveau et la résurrection, se profilent en réalité Sumer, l'Atlantide et l'Égypte, Osiris-Enki, Isis-Ereskigal, un sycomore, et surtout la Grande Pyramide de Gizeh, qui s'avère être la machine à renaître la plus fabuleuse jamais édifiée au nom de l'amour.
Un instrument imposant dans lequel magie et haute technologie se confondent étroitement. Loin d'être spéculatif, le travail d'Anton Parks se fonde sur un protocole de recherche minutieux qui devrait ouvrir la voie à plusieurs disciplines scientifiques et les intéresser au plus haut point, en leur donnant accès à une dimension de travail jusqu'ici inexplorée.
La trame archéologique de l'auteur est rigoureuse et ses décompositions linguistiques sont absolument époustouflantes. Le Testament de la Vierge est sans concession : il montre clairement que l'homme ne doit pas attendre de messie car celui-ci est déjà venu. Tout est déjà révélé, mais caché.
L'homme a été façonné à l'image de ses "Dieux" créateurs avec tous les éléments en lui pour se sauver lui-même. Nous avons simplement besoin de nous réveiller d'un profond sommeil d'ignorance, afin de percevoir pleinement la vraie nature du réel ainsi que la spiritualité lovée au fond de notre conscience, héritage que l'homme partage avec ses "créateurs".
- Karma One (Magazines Nexus-France, Karmapolis.be.
Le "Testament de la Vierge", le dernier ouvrage de Parks n'appartient pas à la série des Chroniques du Girku. Au départ, il devait être un simple chapitre - un dossier - du troisième volet en préparation. Puis, devant la complexité, l'extrême importance du sujet et l'ampleur des éléments recueillis, l'auteur a décidé de lui consacrer un livre entier.
La différence entre "le Testament de la Vierge" et les Chroniques, est que ces dernières sont rédigées sous forme de récit. Le lecteur le sait depuis le début. Il a le choix de n'y voir qu'un récit de science-fiction ou bien de le développer en examinant les nombreuses annotations et dossiers explicatifs. [...]
Parks a réalisé ce pari un peu fou. Son livre n'est pas un livre ordinaire, c'est une révélation, une expérience de reconnexion avec notre passé lointain et oublié, [...] A ce titre, prenons le passage de la Vierge et du Dragon, tiré de l'Apocalypse de Jean, qui serait la description d'Isis enfantant Horus dans la Grande Pyramide, alors que dehors s'engage une bataille entre Michael (Râ / Horus l'aîné) et le Dragon (Seth). Une fois le prodige accompli, la Vierge se cache dans le Eremos (désert), comme le fera Isis dans les marais pour sauver son fils. Eremos semble être un terme codé en ancien sumérien, sous la forme ERIM-UŠ, exprimant les "fondations de la chambre du trésor". C'est en ce lieu qu'Isis se serait dissimulée avec son fils. Cette salle secrète se situerait sous la chambre de la reine de la Grande Pyramide. Gilles Dormion a repéré cette chambre avec son radar et la nomme "la Chambre de Chéops". Parks l'appelle "la Chambre du Phénix" et il en explique les raisons dans son ouvrage. C'est un des moments forts de son livre que nous vous laisserons découvrir. Anton Parks ne laisse aucun doute possible quant à l'association évidente entre le passage de l'Apocalypse et la naissance cachée d'Horus...
Le "Testament de la Vierge", démontre comment la filiation d'Isis et Osiris mena au Christianisme. Un livre percutant et déstabilisant pour la civilisation judéo-chrétienne dans laquelle nous vivons. La légende d'Osiris est le fondement de la religion égyptienne, mais beaucoup de personnes ignorent que ce thème a fondamentalement influencé la doctrine chrétienne. Aucun auteur, jusqu'ici, ne s'était lancé dans la périlleuse rédaction d'une étude aussi fouillée sur le thème de l'assassinat et de la résurrection de ce dieu mythique. Un sujet polémique dont le message résonne avec une étonnante actualité…
Les Dossiers des Grands Mystères de l'Histoire, n°25, février 2010
On oublie souvent que toutes les grandes religions monothéistes ont été influencées par des textes antérieurs. La Bible porte en elle l’empreinte des textes de l’ancien Orient, principalement les textes égyptiens et mésopotamiens. Le livre d’Anton Parks le Testament de la Vierge le démontre parfaitement.
Les Grands Mystères des Sciences Sacrées n°30, août 2010
Connaissez-vous le miroir à retournement temporel ?
Lisez le nouveau et prodigieux livre d’Anton Parks "Le Testament de la Vierge" qui vous fera pénétrer au cœur du mystère d’Isis/Osiris/Horus et de la Grande Pyramide. Ce livre permet de comprendre aussi comment la marche arrière fonctionne sur un plan psychologique et énergétique. En marchant en arrière, vous remontez le temps, vous remontez l’inconscient individuel, collectif et universel. Vous pénétrez dans les strates d’une manière dynamique.
Christian Grollé, "Come back Home grâce à la marche arrière",
éditions Books on demand GmbH, 2009
Comment on a trompé l’homme avec le Diable :
Anton Parks a étudié de près les Igigi, cette partie "inférieure" de la hiérarchie Anunnaki (des textes sumériens), ces "dieux" au service d’autres dieux, qui furent tantôt une force de travail réduite en esclavage, tantôt promue dans le cadre d’une grande armée. Anton Parks les a appelés Nungal (grands princes en sumérien) ou encore Shemsu en égyptien. Ils servaient de suivants, de garde rapprochée pour Enki/Osiris ou pour Horus l’aîné (Râ). Ces êtres ont établi d’étroites relations avec des groupes humains en Afrique et au Moyen-Orient puis se sont liés à des femmes, engendrant des enfants que la Bible considère comme des monstres, les fameux géants de la Genèse ou du livre d’Enoch. La Bible a volontairement diabolisé ces "anges déchus", adoptant le point de vue unique de Yahvé, car ces "tombés du ciel" avaient livré à l’humanité des connaissances secrètes. [...]
Horus, après l’assassinat de son père Osiris par Enlil/Seth/Satan, avait une double mission : venger la mort de son géniteur et restaurer son pouvoir sur les terres d’Egypte qui lui étaient alors contesté. Il devint le chef d’une révolte, le leader des Shemsu, ses suivants pouvant être assimilés aux anges rebelles et réfractaires de l’ordre patriarcal de Atum-Râ/Yahvé/An. [...] Comme le montre Anton Parks dans le livre le Testament de la Vierge, Lucifer, en tant que "porteur de lumière" (soit Lux ou "lumière" et fero signifiant "je porte") est le prolongement chrétien d’Horus, la descendance d’Enki-Osiris, et est en lien avec la planète Vénus. [...]
L’assimilation de Satan avec Lucifer en une seule entité maléfique, dans la croyance populaire, permit de brouiller les cartes et de détacher le récit biblique monothéiste de son ancrage babylonien polythéiste. Or, il existait un état de guerre totale entre ces deux entités représentant des pouvoirs contradictoires et inconciliables. Satan le prince de la Terre est "le seigneur du souffle", Enlil, le grand Satam, l’administrateur territorial. Il est semblable au grand dragon qui veut détruire l’enfant d’Osiris et d’Isis, soit Horus/Lucifer. Anton Parks l’explique dans son exégèse de l’Apocalypse de Jean. [...] En associant le dragon sethien à Satan, puis à Vénus, le christianisme accomplit son œuvre de relecture du mythe en faisant de Satan et de Lucifer une même entité, ce qui permet en toute logique de noircire sans vergogne toutes les actions de Lucifer et de ses anges déchus...
Les Grands Mystères des Sciences Sacrées, n° 28, décembre 2009
Dans notre dernier numéro, Anton Parks, auteur des Chroniques du Girku, nous livrait les derniers résultats de ses recherches remontant aux origines de Sumer, et situait le Kharsag, la cité des Anunna, dans les montagnes du Taurus [cf. le Testament de la Vierge]. Il nous disait : "Le nom KHAR-SAG évoque pour moi le terme turc KARADAG [...] qui désigne les plus grands monts de Turquie, ce qui, à mon sens, ne peut être le fruit du hasard". Philip Coppens donne Karacadag, manifestement similaire.
Parks situe le Kharsag des Anunna aux coordonnées 37,63° N par 41,97° E. Nous avons consulté une carte : cette position est à 35 km au sud de Slirt et à 285 km à l'est-nord-est d'Urfa. Coppens mentionne aussi le site de Karahan Tepe, à 63 km à l'est d'Urfa, ce qui le situe à environ 220 km du Kharsag de Parks. Il signale que d'autres sites sont encore à découvrir dans la région ; on se rapproche ! [...]
Dans le n°22, année 2002 de Nexus (p.48), nous avons publié un article de Lloyd Pye sur l'Evolution des Espèces. Il écrit : "Il n'est pas un botaniste capable d'expliquer de manière concluante comment les plantes sauvages ont évolué en plantes domestiques". L'article entier démonte point par point le dogme du darwinisme. Cela signifie que les blés domestiques ont été apportés aux humains par "quelqu'un de quelque part". Et c'est ici que nous éclaire encore la lecture, par Sitchin, Parks et d'autres, des textes sumériens.
Nexus France, n°64, septembre-octobre 2009
Le Testament de la Vierge ou le réveil des consciences
De la filiation d’Isis et d’Osiris au christianisme !
Le Testament de la Vierge regorge de singularité. La première originalité qui saute aux yeux est qu'aucun auteur ne s'était lancé jusqu'ici dans la périlleuse rédaction d'une étude aussi fouillée sur le thème de l'assassinat et de la résurrection d'Osiris... Tous les lecteurs intéressés par l'Égypte ancienne savent pourtant que ce sujet forme le fondement de la religion égyptienne ! L'aventure était d'autant plus risquée qu'elle bouleverse sur bien des points ce qui est généralement admis par l'égyptologie et elle implique une relecture à grande échelle de notre histoire et de ses dogmes. Nous sommes justement au cœur d'une remise en cause de bien des enseignements et du fondement des trois grandes religions. Le Testament de la Vierge oblige le lecteur à se débarrasser de ses visions conformistes du monde, de l'univers et de Dieu, tout en ne cessant d'apporter des arguments, clairs, précis et souvent incontestables.
Nombreux sont les points qui incitent le respect face à cette étude hors norme qui possède un ton juste, sans jamais dévier dans la facilité, la dérision ou l'autosatisfaction. Certaines informations contenues dans cet ouvrage sont connues de peu "d'initiés" et, jusqu'ici, jamais véritablement révélées au grand publique. D'autres nous semblent sorti tout droit du fond des âges, moyennant démonstrations musclées et nouvelles hypothèses inédites pour un sujet aussi complexe et mystérieux. C'est parfois comme sur le fil d'un rasoir, mais surtout sur les ailes du Phénix, qu'Anton Parks nous invite à un voyage rare et passionnant au cœur de nos origines et de la source des religions...
[...] Jusqu'aux dernières pages de son ouvrage choc, Anton Parks va au bout de son raisonnement et ne s'épargne, à aucun moment, une démonstration ou un effort venant à démontrer le bien fondé de ses théories et découvertes. Le lecteur est sans arrêt immergé dans des recoupements historiques et des confirmations linguistiques. Le travail est de rigueur et il est surtout d'une rare qualité. C'est un pavé dans la mare des convictions dogmatiques et religieuses.
On pourrait se demander pourquoi aucun linguiste ou historien n'avait jamais relevé toutes ces similitudes linguistiques et historico-mythologiques entre les histoires de Jésus et celle du cycle osirien. Il est difficile de se l'expliquer. Nous sommes d'avis que la plus part des découvertes divulguées dans le Testament de la Vierge devaient être connues de quelques rares privilégiés, mais que les chercheurs qui avaient peut-être remarqué certains de ces éléments avaient gardé le silence pour ne pas mettre en danger leur carrière et peut-être leur vie.
Il aura fallu attendre cette année 2009 pour qu'un chercheur indépendant franco-allemand, dénommé Anton Parks, armé d'une bonne connaissance linguiste – n'ayant aucun lien avec une quelconque université et donc nullement financé par des fonds privés – ose sauter le pas et étaler au grand jour et en un seul volume une telle démonstration. Assurément, l'avenir nous réserve bien des surprises. Un réveil des consciences est en marche...
James G. Rooms, magazine l’Egypte n°16, automne 2009
Le Testament de la Vierge : l’Amour Fondateur
C’est une nouvelle révélation d’Anton Parks qui décrypte le mythe fondateur des civilisations. [...] C’est encore et toujours Anton Parks qui nous permet de pousser plus loin notre compréhension, grâce à sa connaissance du proto-sumérien, de l’égyptien ancien et de l’hébreu.
Pour qu’un mythe fondateur soit retrouvé dans toutes les civilisations, il fallait bien qu’à l’origine une seule langue soit parlée sur notre planète. Nous retrouvons ici le mythe de Babel, qui nous fit perdre toute compréhension de nos origines et instaura des dissensions qui perdurèrent jusqu’à aujourd’hui. Cependant, en retrouvant la langue source universelle, nous sommes aujourd’hui en mesure de lever toutes les incompréhensions, toutes les mésinterprétations. Nous pouvons dès à présent déchirer le voile de l’ignorance, source des souffrances de l’espèce humaine depuis des millénaires.
Anton nous conte donc l’histoire d’amour fondatrice de l’humanité… Un amour divin incommensurable qui amena une déesse à concevoir un procédé titanesque, permettant la réincarnation ou résurrection de l’être aimé. Ceci pourrait n’apparaître que comme un mythe de plus, sans fondement historique, sans preuve matérielle, si la construction qui permit ce prodige ne se dressait encore aujourd’hui. Je veux parler de la pyramide de Gizeh, lieu d’incarnation de l’enfant prodige...
Frédéric Morin, Morphéus n°35 (septembre-octobre 2009)
Le Testament de la Vierge », dernier ouvrage d’Anton Parks ne manquera pas d’interpeller le lecteur, provoquant en lui un véritable séisme...
En dépit des réactions que risque de susciter la publication du Testament de la Vierge au sein du milieu égyptologique mais surtout judéo-chrétien, il faut savoir qu’Anton Parks a reçu une éducation chrétienne durant son enfance. Comme, il nous l’explique dans son introduction, son ouvrage n’a pas pour objectif de démontrer que Jésus-Christ n’aurait pas existé, mais de prouver que plusieurs épisodes clés de son histoire se retrouvent en Egypte antique, au cœur du mythe osirien… C’est peu dire au regard de l’imposante démonstration étalée ici.
A n’en pas douter, « Le Testament de la Vierge » est un livre totalement à part qui intéressera plusieurs disciplines scientifiques comme l’archéologie, l’ethnologie, la sémantique, l’égyptologie, l’histoire de la religion judéo-chrétienne, et bien d’autres... Le lecteur, qu’il soit chrétien ou athée inscrit dans le courant classique des thèses habituellement défendues par l’égyptologie classique, ou véritable chercheur ouvert à toutes les introspections des informations provenant de tous les horizons philosophiques et scientifiques ressentira un profond chamboulement intérieur, probablement un séisme. [...]
Le mythe osirien et l’enquête menée par Parks démarrent simultanément lorsque Osiris est assassiné à Abydos (près de son temple aquatique dénommé aujourd’hui Osierion) – laissant orphelins les peuples situés entre le Nil et l’Euphrate. L’assassinat d’Osiris cachait une volonté de briser le code royal instauré par Isis et Osiris. Ces derniers étaient trop près du peuple. Leur vision moderne prévoyait de partager le savoir et la technologie. Cette idéologie mettait tellement en péril le système monarchique instauré par la « lignée divine » des dieux sumériens et égyptiens, que derrière l’assassinat d’Osiris se cache tout bonnement la réécriture de notre histoire ! De ce drame découle une multitude de mythes fondateurs qu’Anton Parks nous dévoile et décrypte progressivement de manière assez subtile pour que l’on reste impassible à ses différents arguments.
Le voyage auquel nous invite l’auteur est long et le dépaysement assuré. La masse de travail exécuté dans cet ouvrage est colossale, comme l’est l’enterrement de notre histoire – triste réalité que nous découvrons au fil des pages de ce livre inattendu et pour le moins déconcertant.
Nous découvrons à travers les conceptions et naissance d’Horus le plan échafaudé par Isis pour prolonger l’idéologie de son époux lâchement assassiné par Seth. Du Yuef (« corps ») d’Osiris, Isis-Hathor, généticienne et magicienne, dénommée Meri (« la bien aimée »), donne naissance à Heru (Horus), baptisé le Mesi (« fait à la ressemblance de [Osiris] »)… Ce Mesi égyptien est le fils du dieu Osiris. Son objectif est de faire revivre la mémoire de son père en se révélant être le fils et le prolongement de ce dernier. Le concept de la réincarnation ayant été caché au peuple par le clergé, Horus, comme Jésus, va devoir faire face à la lignée divine et aux hommes de loi. Vertige des noms et des situations lesquels se bornent depuis près de 2000 ans à se prétendre bibliques et qui sont soudainement démystifiés sous nos yeux. De manière rigoureuse et scientifique, Anton Parks se donne la peine de nous transmettre en hiéroglyphes les noms égyptiens prétendus grecs et hébreux des acteurs principaux. Le choc est terrible et sans appel ! […] De la divine naissance [d’Horus], Anton Parks fait d’innombrables parallélismes avec la naissance de Jésus-Christ, telle qu’elle nous a été rapportée par les écrits bibliques. Les corrélations sont totalement stupéfiantes !
Le Testament de la Vierge nous invite à un voyage inédit hors du temps. Il nous dépeint sans complexe l’histoire d’amour la plus extraordinaire contemplée par l’humanité puisqu’elle semble y avoir puisé ses racines fondatrices. [...]
L’audace d’Anton Parks ne plaira sans doute pas aux chrétiens ni aux égyptologues puristes, mais elle risque d’intéresser une foule de lecteurs. Gageons-nous de prévoir parmi eux des scientifiques. Une chose est certaine, cet ouvrage clouera le bec aux pseudo-scientifiques et au mouvement New-Age, adeptes des spéculations et de sensationnel...
James G. Rooms, magazine l’Egypte n°15, été 2009
Après Le Secret des Étoiles Sombres et Adam Genisis, voici le dernier opus d’Anton Parks, auteur hors norme qui poursuit ici son exploration de nos origines à travers les mythes et les textes fondateurs de l’humanité. Une approche unique qui mêle linguistique, archéologie, ufologie et spiritualité.
Avec Le Testament de la Vierge, Parks examine en détail et met en évidence une filiation directe entre mythes chrétiens, égyptien et sumérien. L’histoire de l’humanité semble bégayer les enjeux qui présidèrent à sa genèse. [...]
L’originalité de la recherche de Parks est de laisser entrevoir une histoire articulant parfaitement les mythes fondateurs de Sumer et de l’Égypte en décryptant les manipulations successives opérées sur les textes par les différents clergés, conférant à ces dieux égotiques un caractère surnaturel, impénétrable et punisseur. Sur cette base est née la monarchie de droit divin, dont toutes les structures de pouvoir centralisé ne furent, au final, que des réplications.
D’une certaine façon, l’homme s’est employé jusqu’ici à reproduire des systèmes fidèles à l’image qu’il se fait de son rapport au divin. [...]
La mise à mort d’Osiris contraindra Isis à édifier sur le site de Gizeh la Grande Pyramide, machine à réincarner doublée d’une porte des étoiles aux proportions gigantesques qui demeurent une énigme aux yeux des égyptologues. La construction de la Grande Pyramide remonterait, selon Anton Parks, à plus de 10 000 ans avant notre ère. Le plus étonnant est cette alliance de technologie avancée et de science alchimique, mêlant un ingénieux dispositif de production d’énergie électrique, des bobines Tesla en guise d’amplificateurs d’énergie, des éléments architecturaux très précis et des rituels quasi chamaniques.
Contrairement aux datations officielles, la Grande Pyramide ne serait pas l’édifice le plus récent mais bien le plus ancien de Gizeh. Les autres pyramides édifiées plus tardivement et technologiquement moins sophistiquées auraient servi de moyen de communication avec le cosmos. Au cours des siècles, le savoir s’est perdu et elles sont devenues de « simples » monuments funéraires, symboles du « passage vers d’au-delà » du pharaon.
De nombreux auteurs ont établi une relation entre les premières représentations de la Vierge et l’enfant et celles du culte d’Isis et d’Osiris. Parks va beaucoup plus loin et décèle dans les évangiles de nombreux traits qui font un troublant écho au mythe osirien. Par exemple, l’intérêt chrétien pour l’aspect douloureux et sanglant du destin du Christ comme la résurgence du mythe de la résurrection d’Osiris par Isis en Horus, dont les macabres détails recouvrent le recours au corps, au sang et aux gènes. Le rituel osirien de résurrection porte le troublant nom de « KRST » qui signifie en égyptien « enterrement » ou « mise en terre » ou encore Keresit qui peut se traduire par « funérailles du père » ou « funérailles du Roi ».
Ce pourrait également bien être en lien avec le premier souverain du peuple égyptien que fut Osiris que les évangiles ont qualifié le Christ de « Roi des Juifs », titre étrangement politique dans un contexte éminemment religieux. Toujours dans la tradition égyptienne, à l’issue des funérailles d‘Osiris, Isis acquiert le pouvoir de procréer le « Mesi », terme qui signifie « fait à la ressemblance de … » grâce à un matériau premier qui n’est ni plus ni moins que le corps d’Osiris appelé « Yuef » ; le corps jouant ici le rôle du « père » du « Mesi » qui n’est autre que le « Josef » de la tradition chrétienne, père de convention du « Messie » Jésus. Il ne s’agit que d’une petite partie des correspondances linguistiques et symboliques entre les deux événements et les deux traditions. Le Messie Roi des Juifs, fils de Marie correspond bien au Mesi (Horus, dont la royauté sera contestée par le clergé !), fils de Meri (Isis) et du « Yuef » d’Osiris, le « mis à mort » bientôt ressuscité, soit le KRST.
Karmaone et David Dennery – Nexus France, n°63 – juillet-août 2009