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T2 - ÁDAM GENISIŠ (2007)

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ÉDITION

INTÉGRALE

revue et

complétée

par l'auteur :

d'important suppléments

dans le récit

et le dossier !

Nouvelle

couverture

2020

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Karmapolis

"(Une) œuvre qui prend les allures de la fiction, mais qui ne pourrait pas en être (...)"

"Remarquable de profondeur dans le décryptage du langage suméro-akkadien et de richesse dans ses références (...)."

Nexus n°60, 2009

Les Arcanes de l'Histoire, 2008

"Adam Genisis est porteur d'un message réellement stupéfiant sur nos origines  (...)"

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NOTE DE L'AUTEUR

"ÁDAM GENISIŠ".

"ÁDAM GENISIŠ". Il aurait été difficile de trouver un intitulé plus précis à cet ouvrage sans prendre le risque de s'éloigner de son thème central, à savoir la création et l'évolution de l'espèce humaine grâce aux multiples manipulations génétiques dont elle fit les frais par les mains du Bestiaire Céleste. C'est sans aucune ironie superflue que nous appuyons le fait que la terminologie universelle Á-DAM GEN-ISIŠ ("fixer et répandre les animaux") est du pur langage sumérien. Tout expert assyriologue aura noté et validé que l'association des formes verbales GEN ou GIN (fixer, envoyer) et ISIŠ (répandre, pleurer) évoquent clairement une création à l'instar de son quasi homophone latin Genesis dont le sens est "naissance". Ces mêmes spécialistes du langage suméro-akkadien ne pourront tout autant contester le fait que le terme Á-DAM se traduit en "animaux", "bêtes", "troupeaux"...

Il pourrait toutefois paraître singulier de constater que dans ce jeu de mots, nous trouvons associés le verbe "fixer" et Isis qui est le nom grec de la déesse égyptienne Aset. Or, dans la mythologie égyptienne, Aset symbolise la déesse des naissances. Nous verrons qu'à travers plusieurs traditions différentes, nous la retrouvons à chaque fois avec les mêmes attributs et fonctions : mère universelle, magicienne et créatrice de vie. Isis est la maîtresse des gènes humains (du grec : genos "origine"). Elle symbolise bien la naissance (genesis en latin), et elle est vraiment celle qui fixe la vie et la répand dans le monde.

Il sera confirmé tout au long de cette série que les anciens langages de la Terre furent subtilement codifiés à l'aide du sumérien, ou plus précisément grâce aux combinaisons lexicales qu'offrent le suméro-akkadien (que je nomme parfois langage suméro-assyro-babylonien ou encore Gina'abul-sumérien). Vous découvrirez que le langage égyptien possède lui aussi des possibilités de codage tout à fait stupéfiantes !

Depuis la sortie de "Le Secret des Etoiles Sombres", des lecteurs nous ont contacté pour nous demander des traductions ou encore des références de dictionnaires en langues orientales. Nous tenons à vous rappeler que ces manuels sont disponibles dans toutes les librairies spécialisées, comme celle du Musée du Louvre à Paris ou encore sur le Net. Les éditions Geuthner font, par exemple, de très bons manuels sumériens et akkadiens.

Ainsi, chaque lecteur pourra, s'il le souhaite, se reporter aux manuels sumériens, akkadiens et égyptiens en vue de vérifier mon travail et exécuter ses propres traductions. Nous avons fait l'effort de placer les correspondances lexicales (accents et numérotations) pour le sumérien et l'akkadien à cet effet précisément. C'est une première pour ce genre d'ouvrage. La façon dont les langages furent codés par le passé a été clairement détaillée dans l'introduction de "Le Secret des Etoiles Sombres".

En novembre 2005, le site Internet Karmapolis.be m'a interviewé sur le contenu du tome 1 de cette série. Cette interview a ensuite été reprise dans son intégralité dans trois numéros du magazine Nexus. L'origine des informations publiées dans le premier ouvrage me fut bien évidemment demandée. A l'époque de l'impression du "Secret des Etoiles Sombres", je ne s'avais pas comment exposer la provenance de toute cette histoire. Il ne s'agissait pas de channeling à proprement parler. Expliquer que tout cela m'était parvenu quotidiennement pendant une dizaine d'années par l'intermédiaire de "jets de lumière" incontrôlables ne m'enchantait guère. Cette situation m'a tellement éprouvée qu'il m'est parfois encore difficile de l'évoquer. Au fil des années, ma vie a été bouleversée à cause de ces événements.

J'avais opté pour ne pas en parler, du moins en un premier temps, en pensant que "ceux qui savent" verraient bien de quoi il en retourne. Quant à la majorité des autres lecteurs, ceux qui sont un peu moins au fait, j'avais envisagé qu'ils se contenteraient de ces informations comme celles que l'on peut trouver dans un essai traitant sur l'origine de l'humanité ou encore comme celles d'un roman, étant donné que le récit est rédigé sous cette forme. Lorsque l'on a des informations importantes à communiquer, tous les procédés sont bons.

La façon de transcrire cette série m'a longtemps posé un problème. Il y a quelques années, lorsque je me suis enfin décidé à me mettre à la rédaction, j'ai commencé à rédiger le premier volume sous la forme d'un essai. Au bout d'une bonne centaine de pages, je me suis aperçu que je ne pouvais pas placer tous les détails que j'avais reçus. J'ai donc abandonné cette idée et j'ai rédigé la partie centrale, à savoir l'histoire, sous forme de récit. Ainsi, j'ai pu placer toute la spécificité de cette histoire sans tabous et j'ai pu préserver cette sensation singulière de se retrouver dans le corps du personnage principal, comme à l'époque de la réception de toute cette histoire. En conséquence, j'ai gardé le contenu de mes investigations historiquo-mythologiques et linguistiques pour les notes de bas de pages et pour des dossiers, comme ceux placés à la fin de cet ouvrage. Ceci explique pourquoi deux styles d'écritures différents cohabitent dans les volumes de cette série.

Immédiatement après la parution de la première édition du tome 1, vous avez été nombreux à nous contacter sur antonparks.com. L'intérêt que suscite cette série m'a fait rencontrer des gens formidables. Finalement, je me suis rendu compte, grâce aux réactions positives de nombreux lecteurs, que l'univers des "contactés" n'est pas aussi mal perçu que je l'avais imaginé. J'ai également été mis en relation avec des individus perturbés. Des personnes nous contactent parfois sur le site antonparks.com en exigeant des précisions. Leurs réactions, quelquefois emportées, sont à l'image de la confusion que suscite la série. Cette histoire attire autant qu'elle dérange, elle ébranle bien des idées reçues jusqu'ici sous le contrôle de l'opinion savante et de quelques auteurs qui pensaient avoir réécrit l'histoire de l'humanité et en détenir le monopole.

Plusieurs psychologues m'ont contacté. Ils semblent déceler dans ma narration les traces des grands archétypes moraux et sociaux qui manifestent les différents caractères de l'être humain. Pour certains d'entre eux, je suis une énigme vivante et pour d'autres, je suis un livre ouvert par le truchement du récit que je rapporte. Il y aura toujours des personnes qui penseront que je suis un illuminé, et d'autres au contraire, qui – comme c'est déjà arrivé – me prendront pour une sorte de rédempteur, réincarnation de Sa'am, le personnage de l'histoire que j'ai reçue. Mes propos ne sont pas de vous convaincre que j'aurais été cet être lors d'une de mes précédentes incarnations. Je me moque de savoir si tel a été le cas.

Je suis au service de cette histoire et ce n'est pas elle qui est à mon service pour glorifier et justifier l'idéologie ou les comportements des personnages évoqués dans cette série ou encore certains traits de mon caractère.

Certaines religions prétendent que nous sommes ici en "Enfer" pour expier nos "péchés", alors que d'autres déclarent que nous sommes au "Paradis" et que cette vie est là pour que nous puissions jouir et profiter des joies matérielles. D'autres encore affirment que nous sommes en ce bas monde pour transcender nos viles impulsions et le moment présent. Qui a raison ? Faut-il s'étonner qu'autant de personnes aillent aussi mal ? L'éducation civique, morale et spirituelle n'existe pas à proprement parler dans le cycle scolaire, alors qu'elle devrait être enseignée dès le plus jeune âge afin de prodiguer le plus grand respect à son prochain. Il est assez cocasse de constater que le terme "spirituel" possède comme synonymes les vocables "amusant", "humoristique" – c'est effectivement assez comique !

Les mouvements politiques et les instances religieuses profitent de cette confusion généralisée pour endoctriner les peuples et pour ramener le plus de partisans possibles à leurs causes… Cela ne date pas d'aujourd'hui et ne fait que refléter le combat millénaire qui oppose deux forces distinctes issues d'une même famille, dont je reproduis ici l'histoire dans ses grandes lignes. Les conclusions qui en découleront dans le troisième tome, surprendront les plus grands moralisateurs et prétendus érudits spirituels assis tranquillement dans leurs fauteuil ou leur caverne…

Dans ce monde, il nous est finalement suggéré de jouer les équilibristes et de générer une forme de neutralité : de n'être ni trop bon, ni mauvais… Les mauvais sont montrés du doigt avec dégoût et mépris – sans pour autant que l'on sache pourquoi ils sont comme cela – et les bons sont présentés comme des fanatiques de la bonne parole, comme de doux rêveurs qui n'ont pas non plus leur place ici-bas… Quant aux impartiaux, ceux qui tentent de produire une forme de neutralité, ils ne sont pas épargnés non plus, certains sont présentés comme étant des lâches et d'autres comme étant des manipulateurs de premier ordre.

Certaines personnes, qui prétendent avoir fait un travail spirituel, soutiennent que nous serions tous un peu manipulateur – ce penchant étant propre à l'être humain. Alors, quel manipulateur faut-il croire ?

La pluralité des genres engendre-t-elle le chaos ou est-elle bénéfique pour l'évolution ? Cette question universelle déchire le monde depuis la nuit des temps. Les réponses qui ont été apportées jusqu'à ce jour n'ont jamais calmé les esprits…

La multi collectivité ethnique de la Terre est le résultat d'un incessant travail de sabordage entre plusieurs communautés extraterrestres qui ont manipulé le génome humain… même les "dieux" semblent de grands manipulateurs. Qui peut prétendre que je ne le suis pas en vous faisant toutes ces révélations ?

J'ai reçu et éprouvé les aventures de Sa'am et de Heru pendant près de dix ans. Cela s'est produit dans le désordre et dans une certaine confusion, particulièrement les premières années. Il a donc fallu que je remette de l'ordre dans toute cette histoire décousue. J'ai cru pendant longtemps qu'il était question d'un seul et même individu, alors que les caractères de Sa'am et Heru sont pourtant très différents. Le premier étant assez calme et très intériorisé et l'autre étant plutôt nerveux, assurément programmé pour se venger des adversaires de sa famille maternelle et pour laver l'honneur des siens.

Je ne prétends pas détenir toute la vérité ! Il n'est pas totalement exclu que certains épisodes de cette série n'aient pas été pleinement interprétés par mes soins. Vous pouvez être certain que j'ai fait de mon mieux pour éviter cette éventualité. J'ai également fait tout mon possible pour rester fidèle à ce que j'ai reçu. Il y a, par exemple, quelques épisodes que j'ai perçus et dont les sens m'échappent partiellement. Ils ne semblent pas particulièrement fondamentaux, j'ai donc préféré ne pas les inclure dans le récit.

A chacun reviendra le bénéfice d'interpréter ces "Chroniques" et ce qu'elles contiennent à sa façon. Le contenu de cette série reflète parfaitement ce que j'ai reçu et ce que j'en ai déduit grâce à mes investigations postérieures. Le message est là et fera son chemin...

Parmi les personnes qui m'ont contacté, se trouvent le scientifique Gerry Zeitlin et sa femme Malou. C'est par l'intermédiaire du journaliste, Alain Gossens, que la connexion a pu s'établir. Gerry, Malou Zeitlin et moi-même, communiquons souvent sur les "Chroniques" et le travail qu'ils réalisent sur leur site : www.zeitlin.net/EndEnchantment/Secrets.html étonne le public jour après jour. Nous nous considérons comme des amis.

Je tiens à préciser ici que l'enquête et la réflexion que réalise Gerry Zeitlin à partir de mes écrits est une pièce incontournable qui permet d'appréhender d'une façon assurée l'ensemble des "Chroniques du Gírkù". Les graphiques et schémas qu'il a réalisés pour cet ouvrage et sur son site Internet apportent la dimension nécessaire à cette série. Sa méthode de travail me plaît beaucoup. Je remercie donc, une nouvelle fois et du fond du cœur, Gerry et Malou Zeitlin pour leur soutien et leur précieuse collaboration.

Les deux dossiers positionnés en fin d'ouvrage sont des enquêtes importantes qui suivent le déroulement de l'histoire décrite dans ÁDAM GENISIŠ. Il est donc préférable de les lire après avoir compulsé l'intégralité du récit millénaire de Sa'am.

Vous noterez que les termes utilisés dans l'ensemble de cette série restent invariables volontairement, le but étant de ne pas alourdir la lecture qui est déjà peu aisée par l'utilisation de nombreux vocables sumériens, akkadiens et égyptiens.

Bonne lecture et avec toute ma fraternité !
Anton Parks

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Couverture de la première édition

du Tome 2

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"Excentrique Vénus"

La science officielle en est encore à la théorie de la migration planétaire et des mécanismes d'accrétion. Vélikovsky postulait que Vénus avait été éjectée par Jupiter. Cette vision des choses n'est pas loin de ce que nous savons depuis la découverte et le déchiffrement récent des tablettes sumériennes. Parmi les divers auteurs qui s'y sont consacrés, Anton Parks (les Chroniques du Girku) est peut-être celui dont l'analyse est la plus fiable grâce aux rapprochements et comparaisons sémantiques très fouillées qu'il établit entre les textes akkadiens-sumériens et égyptiens.

Selon les textes mésopotamiens, une grosse planète, nommée Mulge, orbitait entre Mars et Jupiter. Par une cause inconnue, peut-être une collision avec une comète venue de l'espace, Mulge fut détruite et ce sont ses débris qui forment l'actuelle ceinture d'astéroïdes. Mais Mulge avait un satellite, Mulge-Tab, qui fut projeté à travers le système solaire sur une orbite très excentrique qui la faisait périodiquement croiser les orbites de la Terre et de Mars, échangeant au passage les foudres catastrophiques dont rend compte la théorie de l'Univers électrique. On y retrouve l'origine des "traits de Jupiter" chez les Romains, des "foudres de Zeus" chez les Grecs, etc.

Anton Parks et l'ingénieur Gerry Zeitlin [cf. Adam Genisis et le Testament de la Vierge] proposent un schéma très vraisemblable de l'ancienne orbite de Mulge-Tab, devenue Vénus, dont, au fil des siècles, l'orbite s'est circularisée dans sa position actuelle…

Magazine Nexus France, n°68, mai-juin 2010

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Sa'am & le Girku,

illustration © Hanael PARKS

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Doit-on encore présenter le chercheur français autodidacte Anton Parks, auteur du Secret des Etoiles Sombres, Adam Genisis et du remarquable et fort déstabilisant Testament de la Vierge […] Parks ne partage pas l’avis de Sitchin sur l’astre Neberu (Neb-Heru/Marduk). Selon lui, il ne serait pas la planète des "dieux".
Plongeons-nous dans son livre Adam Genisis et examinons ses différents arguments. Se référent à la tablette cunéiforme n° VA-243, Sitchin a élaboré une thèse selon laquelle il existerait une planète errante, Neberu, la planète originelle des dieux sumériens Anunnaki qui décrirait autour de notre soleil une orbite elliptique la faisant revenir tous les 3.600 ans aux environs de la terre. Or, les trois lignes faisant référence à cet astre ne mentionnent jamais le nom de Neberu, encore moins le fait qu’elle était la demeure des dieux !

Il n’existe que très peu de tablettes d’argile évoquant ce nom, hormis des documents astronomiques et quelques évocations dans le texte babylonien Enuma Elish, comme nous le confirme Anton. La planète [Nibiru] est parfois associée à Jupiter ou à Mercure. Pour Parks, le lieu originel des dieux Anunnaki est le Dukù, pouvant se traduire par "monticule sacré" ou "saint monticule", désignant des demeures célestes ou des planètes. [...] [Le Dukù se trouve selon Parks dans les Pléiades].


[...] Depuis 2002, ce n’est pas un mais plusieurs astres qui ont été découverts par les astronomes au-delà de Pluton : Quaor, découvert en 2002, Sedna et son satellite découverts en 2003, Xena ou encore Eris et son satellite découverts en 2003… Dès Lors, Parks s’interroge avec justesse : lequel de ces astres est Neberu ? Le problème est que selon Sitchin, la planète des dieux décrit une ellipse de 3.600 ans autour du soleil et aucune des ces planètes se possède cet orbite. Dès lors, qui fut le "perturbateur céleste" dont de nombreuses légendes évoquent l’apparition ? [...] Le docteur Immanuel Velikovski et Anton Parks pensent qu’il s’agirait de Vénus.

Les Grands Mystères de l’Histoire, hors série, n°10, décembre 2009

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Pour David Icke, comme pour l'auteur français Anton Parks, la monarchie absolue ou "royauté de droit divin" – la colonne vertébrale du système de pouvoir qui a dominé l'humanité depuis des millénaires – est un héritage qui nous vient en droite ligne des Anunnaki, de leur arrivée sur Terre et de la façon dont ils voulaient diriger les premières colonies humaines. [Ces dernières], nous raconte Anton Parks, pour n'être qu'une main-d'œuvre corvéable à la merci et au service exclusif des Anunnaki. Ce système monarchique nous a été transmis de Sumer, Babylone et l'Egypte ancienne pour être répliqué, sous des formes atténuées, aujourd'hui, au cœur de nos institutions aux apparences démocratiques. […]

Comme l'a très bien expliqué Anton Parks, l'un des Archontes / Anunnaki, connu sous le nom sumérien d'Enki et égyptien d'Asar ou Usir (Osiris), en connexion avec la source, aurait trahi ses congénères pour faire don à l'humanité d'une pleine conscience et des rudiments de la civilisation. C'est le fameux "serpent instructeur" des textes gnostiques, devenu "la Bête" ou "le tentateur" dans les traductions traditionnelles de la genèse biblique.

Dossiers Secrets d'Etats, n°7, août 2009

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"Le chercheur autodidacte Anton Parks, auteur du "Secret des Etoiles Sombres" et "Adam Genisis" a recueilli le plus d’informations possibles sur les tablettes sumériennes. Il a examiné les travaux de traduction de Samuel Kramer, Jean Bottéro, Marie-Joseph Seux, Thorkild Jacobsen, René Labat ou encore André Caquot. Il a ensuite travaillé sur le langage, la décomposition des mots, afin d’en analyser les significations profondes et le lien avec certains mots de nos langues modernes. Finalement, il a découvert que les syllabes sumériennes et akkadiennes formaient un langage matriciel qu’il a nommé l’Emesa. Ce langage originel permet de décomposer les principaux mots des langages ancestraux, comme le chinois, l’hébreu, le grec ancien, le latin, les langues germaniques et amérindiennes...
Quoi qu’il en soit, l’emploi de cette langue (d’origine probablement céleste voire pour certains, extraterrestre) dut représenter un danger potentiel pour la divinité qui décida de faire régner entre les hommes la confusion, le désordre et le chaos. Désormais, chacun parla une langue différente. La compréhension ultime des choses que ce soit les lois de l’Univers ou celles de la Nature, fut à jamais perdue... La divinité pouvait dormir tranquille".

Les Dossiers des Grands Mystères de l’Histoire, N° 22, Janvier 2009

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"Billard cosmique : Un certain nombre d’exégètes ont déchiffré et interprété les idéogrammes sumériens, dont un des plus connu est Zecharia Sitchin. Plus récemment, Anton Parks, remarquable de profondeur dans le décryptage du langage suméro-akkadien et de richesse dans ses références (aux-quelles il inclut même les Codex de Nag-Hammadi), nous donne, avec la participation du scientifique Gerry Zeitlin, l’explication du "cas Vénus" à la lumière des écrits sumériens.


A une époque antédiluvienne, une grosse planète nommée Mulge [l’Astre Noir] gravitait entre Mars et Jupiter. Cette planète possédait un satellite, Mulge-Tab [compagnon de Mulge]. Suite à un conflit cosmique entre diverses races parmi les humano-reptiliens Gina’abul et à la violence des Anunna, Mulge fut détruite. Il en reste des fragments qui forment l’actuelle ceinture d’astéroïdes. Mais son satellite Mulge-Tab fut projeté à travers le système solaire sur une orbite très excentrique qui recoupait celles de Mercure, de la Terre et de Mars. Chaque fois que la coïncidence des révolutions faisait passer Mulge-Tab à proximité de la Terre, il en résultait les cataclysmes dont on trouve les traces dans les traditions de toutes les anciennes civilisations et, bien sûr, dans la Bible.


Mulge-Tab ne serait autre que Vénus. Les quasi collisions avec la Terre et aussi avec Mars finirent par modifierla trajectoire de Vénus dont l’orbite se circularisa là où elle se trouve aujourd’hui. Ce scénario correspond parfaitement à ce que décrit Immanuel Vélikovsky dans son ouvrage ["Mondes en Collision", réédition Jardin des Livres]. [...] Aussi hallucinant que puise paraître cette partie de billard cosmique, cela n’a rien d’impossible...".

André Dufour, Nexus France, N°60 janvier-février 2009

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"Le dernier ouvrage d'Anton Parks "Adam Genisis" est porteur d'un message réellement stupéfiant sur nos origines oubliées ou volontairement censurées... Ces nouvelles voies d'exploration nous confrontent à des hypothèses déstabilisantes. Elles nous obligent à réexaminer de plus près nos textes sacrés, nos mythes, traditions et légendes, à revoir notre notion de "spiritualité" pour nous ouvrir à celle de la multidimensionnalité, à remettre en question les affirmations de la science officielle comme celles des religions et à analyser différemment les archives de notre passé..."

Les Arcanes de l'Histoire, N°6 (décembre 2008)

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"Anton Parks, l’homme du mystère : La théorie exposée est déstabilisante, infiniment dérangeante et surtout beaucoup moins valorisante pour notre race que celle imposée par les trois religions monothéistes. Celle développée par l’auteur Anton Parks est particulièrement troublante. [...] L’expérience de cet auteur est unique. Ses révélations sont ahurissantes. L’histoire narrée par ce chercheur est-elle moins crédible que la Bible ? [...]


Parks a fait le bon choix. Il a opté pour la fiction mais a ajouté à son récit des précisions et des éléments fort intéressants, indiscutables sur le plan intellectuel. [...] Même si la thèse développée par Parks semble s’apparenter davantage à de la science-fiction et peut faire sourire les sceptiques, il n’en reste pas moins que les nouvelles découvertes tant archéologiques que scientifiques nous offrent chaque jour leur lot de surprises et obligent les savants à réviser leurs dogmes. [...]


Anton Parks a été confronté a une quantité d’informations cohérentes à propos d’une civilisation que bon nombre d’historiens et de chercheurs qualifient, à juste titre, de "berceau de l’humanité". D’où lui sont venues ses visions si pénétrantes de l’histoire et de la langue de cette prodigieuse civilisation surgie du néant, comme si elle avait réalisé un prodigieux bond technologique inexplicable ? Nous l’ignorons. Mais l’auteur est honnête et sage. Son expérience est troublante..."

Les Grand Mystères des sciences sacrées, N°20 (novembre 2007)

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"Après avoir adopté la position de Sitchin dans Morphéus N°2 (astronomie de Sumer), les travaux ultérieurs d’Anton Parks ont démontré que Sitchin s’était trompé sur l’interprétation du sumérien. En clair après quatre années de recherches dans le ciel et selon certaines analyses récentes, tout indique que cette planète [Nibiru] est une planète fantôme au même titre que la menace terroriste fantôme".

"La fausse menace extranéenne", magazine Mophéus N° 28, juillet 2008

"Nous étions très impatients de voir publié le livre d’Anton Parks : Adam Genisis. Nous en avions parlé avec un an d’avance sur sa sortie. Espérons qu’Anton nous pardonne de lui avoir mis une telle pression. C’est fait, le livre est disponible et publié. C’est un ouvrage d’une majestuosité et d’une érudition vraisemblablement jamais égalée. Le réminiscent Parks est décidément un virtuose".

Morphéus N° 21, Mai-Juin 2007

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Pièce majeure du puzzle qui se complète d’année en année, le travail d’Anton Parks ouvre une perspective vertigineuse tout en comblant les nombreuses lacunes de la science et de la religion, et retire brutalement le voile qui recouvre la question de nos origines.

David Dennery, Nexus n°50, mai-juin 2007

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"La surprise peut alors surgir lorsqu’une œuvre qui prend les allures de la fiction, mais qui ne pourrait pas en être, permet de jeter des ponts entre ces trois domaines : les sciences exactes, les sciences humaines et les mythes et légendes fondateurs de nos civilisations.


L’oeuvre d’Anton Parks demeure totalement originale, à part, étonnante, plongeant le lecteur dans un ballet incessant de questions et de réponses, jouant avec les racines de nos mythes les plus fondamentaux, les décodages des langues anciennes et modernes dans le cadre d’une saga épique. Fiction, réalité ? Le lecteur choisira.


Depuis l’âge de 14 ans et pendant une durée de 10 ans, Anton Parks a été assailli par des visions qu’il ne pouvait contrôler, ordonner, dater. Il pensait au départ recueillir des impressions visuelles sur un avenir improbable. Il lui faudra des années pour mettre de l’ordre dans ce déluge d’informations et surtout leur donner un sens. Lorsqu’il est en contact avec l’écriture et les textes sumériens, tout prend alors tournure et ses visions finissent par acquérir une réelle cohérence. On peut rester totalement sceptique ou hermétique à ce type d’événement.

 

Il reste le texte, les rapports totalement pertinents que l’auteur établit entre ses visions et des passages assez hermétiques des chroniques anciennes, des écrits bibliques ou des textes apocryphes. Le lecteur ne pourra pas non plus échapper au décodage de la langue grâce au syllabaire sumérien. Enfin, Anton Parks nous décrit le fonctionnement des rapports de force entre les soi-disant « Dieux » du panthéon sumérien et égyptien en élargissant le tableau vers un colossale bestiaire galactique, un combat extrêmement complexe et fascinant entre de multiples civilisations extraterrestres dont l’identité est codée grâce au syllabaire "Gina’abul sumérien"".

Karmapolis.be (mai 2007)

PRÉFACE
par le scientifique Gerry Zeitlin :

Avez-vous jamais rêvé d'être une conscience enclose dans le corps d'une autre personne pendant que cette même personne - homme ou femme - continue de faire les expériences qui lui sont propres.

Cela pourrait paraître quelque peu terrifiant : expérimenter intimement tout ce que la personne de ce rêve fait elle-même, tout en sachant que nous ne sommes pas celle-ci et que nous n'avons aucun moyen d'agir sur cette situation.

Cela pourrait pourtant assez bien décrire la façon dont Anton Parks a "fait l'expérience" de Sa'am, la figure centrale de la première moitié de la série des "Chroniques", dont le présent volume nous révèle des identités qui nous sont quelque peu plus familières. C'est du moins ce que laisse penser la façon dont il décrit son expérience. Sauf que Parks n'était guère en train de rêver ou de dormir. Ses "transports" qui le faisaient passer de sa vie en tant qu'Anton Parks à cet acteur silencieux de la vie de Sa'am / Heru allaient se produire de façon inattendue et intrusive alors qu'il était parfaitement éveillé.

Tous ces épisodes ont débuté en 1981 chez Parks, alors âgé de 14 ans, par une série de "flashes" qui prendraient spontanément place à n'importe quelle heure de la journée. Ceux-ci allaient en définitive évoluer pour devenir des "visions" survenant quotidiennement de deux à trois fois dans la journée.

C'était là des visions non désirées qui interféraient avec la vie d'un jeune homme en pleine croissance. Quelque dix années s'écouleront finalement jusqu'à ce que Parks parvienne à leur mettre un frein. Avant qu'elles ne s'évanouissent cependant, Parks avait pu découvrir qu'il avait intimement vécu, par le biais de son "partenariat" avec Sa'am / Heru, des périodes d'une histoire qui semblait se rapporter à notre Terre, et s'étendaient sur quelque 300 000 années tout au long de civilisations humaines inconnues à ce jour, pour s'achever à l'aube du christianisme.

La question pour Parks, et pour nous aujourd'hui, est de savoir comment considérer ces informations. Comment pourrait-il lui-même, et comment pourrions nous nous-mêmes jamais savoir si nous sommes là en présence de données historiques valides ou de produits d'une imagination fertile propres à alimenter une catégorie quelconque du genre de la science-fiction ?

Si nous avions bien sûr eu une connaissance préalable des mécanismes qui ont sous-tendu cette expérience, nous pourrions aujourd'hui être en mesure de faire une première évaluation des informations obtenues à travers le processus. Mais personne n'ignore que le savoir humain laisse passablement à désirer dans ce domaine. Nous serions même bien embêtés pour apposer un nom sur le phénomène auquel Parks a été soumis. Il ne s'agit clairement pas d'une expérience de rêve éveillé, étant donné que cela s'est produit à l'état de veille - sans compter moult autres raisons.

De fait, le type d'expérience qu'a connu Parks n'a probablement jamais été étudié par aucune sorte de scientifique - psychologue, parapsychologue et autres chercheurs en rêves… Nous aurions même beaucoup de mal à déterminer un domaine de recherche qui lui corresponde vraiment.

Face à de telles circonstances, Parks s'est rendu compte que la seule façon de comprendre le sens de ces informations était d'étudier les données elles-mêmes, de vérifier de quoi elles étaient faites et si elles pouvaient s'apparenter à de quelconques vestiges encore présents de nos jours et liés aux époques excessivement anciennes qu'elles supposent.

La question de leur cohérence intrinsèque semble s'être résolue d'elle-même. Comme n'importe quel lecteur du premier volume, "Le Secret des Étoiles Sombres", l'aura vu, le récit de Parks se tient magnifiquement de bout en bout -, là n'est pas le problème, et il n'y a pas de doute que les lecteurs auront le même sentiment quant au présent volume. Il y a pourtant deux problèmes importants auxquels nous sommes confrontés pour ce qui est de leurs correspondances externes.

La totalité de ce scénario implique premièrement des races étrangères à notre planète, issues d'autres dimensions, ainsi que des événements inconnus du savoir officiel et auxquels notre société moderne dénie toute validité. Ceci nous amène à la question suivante : les "autorités connaissantes" de notre société sont-elles compétentes pour émettre un jugement quant à la validité de cette partie-là de l'histoire de Parks ?

Il va bien entendu sans dire qu'en tant qu'autorités, elles revendiqueront le droit d'agir de la sorte. Et nous attendrions de leur part qu'elles considèrent que cette validité est ici sans fondement, soit parce que la possibilité que les informations de Parks puissent être valides n'est conforme à aucun de leurs modèles de réalité, soit parce que nous sommes à ce jour incapables de comprendre ce processus. Et il nous faudrait, étant donné qu'il s'agit des autorités, attendre qu'elles apprennent éventuellement suffisamment de choses à ce propos dans un avenir incertain - si tant est qu'elles nous en informent.

Et c'est pourtant là ce qu'elles déclareraient, étant donné qu'elles sont, en tant qu'autorités, censées tenir de tels propos.

C'est à nous de décider s'il convient de les écouter ou pas.
Ce qui constitue le second problème, ce sont les épisodes de cette histoire qui ont lieu sur notre planète et dans notre dimension, lesquels ont pu laisser des traces et ce, de manière si répétée que les séquences en questions ont commencé à empiéter sur des périodes connues de l'histoire humaine.

Nous avons ainsi la situation inverse : il y a bien des "autorités" de toutes sortes qui sont toujours prêtes à nous donner leur interprétation de telle ou telle trace physique, psychologique ou historique, insistant la plupart du temps sur le fait qu'elles sont dans le vrai, même si elles contredisent en cela d'autres autorités.
Face à cela, Parks disposait d'une possibilité d'action qui n'était autre que de se cultiver lui-même dans au moins deux disciplines susceptibles d'apporter quelques éclaircissements à propos de ces questions-là - et de découvrir ce qui avait des chances d'être le plus proche de la vérité pour ce qui est de notre passé comme de notre actuelle situation. J'ai nommé les domaines de la linguistique et de la mythologie.

Il lui fallait des connaissances en linguistique, car même s'il s'était trouvé en mesure de comprendre et d'utiliser les formes orales et écrites de la langue qu'employaient les êtres avec lesquels Sa'am / Heru était en relation, il n'avait à l'origine aucune idée de ce que cette langue aurait pu être. Comme il l'a lui-même soigneusement expliqué dans son premier volume, son étude a révélé que cette langue s'était avérée être une sorte de proto-sumérien. Il a au cours de ce processus également découvert que toutes les langues premières de l'humanité tiraient leurs racines phonétiques de cette langue fondatrice, et la façon spécifique dont chaque phonétique s'était adaptée en disait long sur la façon dont les civilisations qui les employaient articulaient leurs concepts.

Tout ceci a ainsi directement débouché sur une enquête exhaustive concernant les diverses mythologies du monde.
Là ou les spécialistes universitaires en mythologie se contentent d'assimiler les mythes à des croyances, qui les renseignent ainsi sur la façon dont étaient structurées celles des diverses civilisations premières, Parks est quant à lui en mesure de comparer ces mythes à ce dont il se "souvient", mythes qui constituent d'ailleurs souvent la trame de ses souvenirs.

Comparer cette même trame à des visions conventionnelles du monde ne va cependant pas sans mal. Les corrélations apparaissent clairement, et sont cependant surprenantes. Elles dressent un tableau de notre passé et de la situation présente qui défie pratiquement toutes les idées que nous pourrions avoir quant à ce que nous sommes - et ceci pour la simple et bonne raison que nos mythes sont souvent les restes d'événements étonnants.

En guise de conclusion à notre propos, je crois qu'il est important que nous en revenions à notre point de départ. À quoi sommes-nous censés apparenter l'expérience "paranormale", comme nous serions tentés de l'appeler, de Parks ? Les lecteurs auront en mémoire le rôle central tenu par le Gírkù dans le 1er volume, "Le Secret des Étoiles sombres". Objet magique (tel qu'il nous apparaît tout au moins à nous) dont l'origine reste un profond mystère, lui-même déjà ancien lorsqu'il fut confié à Sa'am quelque 300 000 ans avant notre ère, le Gírkù a son identité propre. Il possède même un nom : Ugur, et se trouvait être le fidèle compagnon de Sa'am / Enki (comme nous allons le découvrir dans ce volume) et probablement d'autres qui lui ont succédé.

Ugur affiche en tant que personnalité des caractéristiques hautement vertueuses, parmi lesquelles la fidélité à son possesseur et, semblerait-il, à la Vérité elle-même. Ugur est l'éternel dépositaire de toutes les données historiques qui lui ont été confiées. Tout au long des livres de Parks, nous voyons Sa'am / Enki et ensuite Heru (Horus) enregistrer en Ugur les chroniques de maints millénaires. Nous apprenons ainsi que Mamitu-Nammu, la "mère" de Sa'am, a fait la même chose avant lui, d'autres encore l'ayant suivie. Et aujourd'hui, en ce temps qui est le nôtre, Parks indique (lors de communications privées - si ce n'est de manière on ne peut plus claire dans ses livres) que tout ce que comporte ses récits est remonté jusqu'à nous à partir de ce même Ugur.

Il nous est seulement possible d'imaginer comment tout cela s'est passé. C'est pourtant parce que tout cela s'est effectivement produit un jour que nous ne sommes aujourd'hui plus contraints d'affronter notre futur en aveugles, sans même la certitude d'une identité pour assumer notre destin. Nous découvrons ici que notre passé, pour avoir été tragique, n'en est pas moins empreint de noblesse - face aux ennemis les plus impitoyables qui soient, autrefois bien près, et toujours bien près de nos jours, de nous priver de notre héritage comme de notre destinée. Mais rien n'est encore joué.



Gerry Zeitlin
New York, mars 2007

À propos de ce livre :
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Présentation interview pour le magazine Nexus

(mai-juin 2007) par Karmaone

C'est une bonne nouvelle, une avant première et en même temps, une jolie exclusivité : les lecteurs d'Anton Parks et de sa saga " les Chroniques du Girku " pourront prendre connaissance d'une interview que l'auteur nous au moment où celui-ci termine son livre qui ne devrait pas tarder à garnir les rayons des libraires. Pour ceux qui ne connaissent pas le travail d'Anton Parks, sachez que ce second tome éclaire de manière totalement originale l'histoire de l'humanité d'avant le déluge et explique aussi comment nous avons hérité de structures sociales et religieuses telles que nous les connaissons. Aussi étonnant que cela puisse paraître à première vue, cette histoire serait le fruit d'une longue interaction avec des entités extraterrestres que nous avons pris pour des Dieux, une thèse de plus en plus partagée par un nombre croissant d'auteurs. Cette intervention étrangère explique au mieux le doping et la diversification de la création, de la manifestation d'entités biologiques complexes et de l'intelligence sur la planète terre.

Pour expliquer le monde et les sociétés dans lesquelles nous vivons, nous avons recours à deux types de réponses : les unes émanent de la Science et des sciences humaines, les autres des mythes et des légendes sur la création du monde, et en ce qui nous concerne, les textes bibliques. Malheureusement, à l'usage, nous sommes contraints de reconnaître, pour de multiple raisons que les réponses aux questions fondamentales que nous nous posons provenant tant des champs des sciences exactes, des sciences humaines, des mythes et textes religieux sont largement insatisfaisantes.


La théorie de l'évolution des espèces de Darwin prise stricto sensu est incapable de répondre à des points fondamentaux concernant l'émergence brutale de l'intelligence, de certaines espèces animales et végétales ainsi qu'un paquet d'anomalies temporelles, à savoir des artefacts ; des objets et des créatures que l'on retrouve dans des périodes de l'histoire de la terre infiniment trop anciennes et qui ne sont pas supposés s'y retrouver.
Les récits bibliques imposent tout et n'expliquent rien. Ils ne font que nous informer sur l'existence d'un lien de soumission éternel et indéfectible entre un créateur, " Dieu " et ses créatures, les hommes, tous coupables d'une faute assez obscure concernant le fruit d'un arbre que les humains n'ont même pas volés mais ont eu la curiosité de manger parce qu'une vilaine créature reptilienne le leur proposait.


La surprise peut alors surgir lorsqu'une œuvre qui prend les allures de la fiction mais qui ne pourrait pas en être permet de jeter des ponts entre ces trois domaines : les sciences exactes, les sciences humaines et les mythes et légendes fondateurs de nos civilisations.


L'œuvre d'Anton Parks demeure totalement originale, à part, étonnante, plongeant le lecteur dans un ballet incessant de questions et de réponses, jouant avec les racines de nos mythes les plus fondamentaux, les décodages des langues anciennes et modernes dans le cadre d'une saga épique. Fiction, réalité ? Le lecteur choisira. Cela n'a pas une grande importance car ce qui compte est le sens que l'on trouvera à tous les flashs que l'auteur a perçu pour raconter cette histoire antédiluvienne des " Dieux " qui auraient créé les hommes et dont on retrouve la trace dans les étranges chroniques sumériennes découvertes sur des tablettes d'argile séché dans les entrailles de la Mésopotamie.


Adam Genisis est donc le second opus des chroniques du Girku, l'œuvre en plusieurs volumes d'Anton Parks, qui retrace, arguments textuels à l'appui, l'histoire de la planète terre et les raisons pour lesquelles, à un moment précis et assez soudain, a émergé de la réserve écologique terrienne, la lignée des hominidés. Ce deuxième tome réjouira les lecteurs du premier car il reprend l'histoire là où l'auteur nous avait abandonné, moment crucial où le personnage de Sa'am/Enki du panthéon des " Dieux sumériens " rejoint la terre et marque de son empreinte une suite complexe et inexorable d'événements qui aboutiront à l'émergence de l'humanité d'abord primordiale, ensuite telle que nous la connaissons. Le projet "humanité ", car il s'agit bien d'un projet, aurait du être une merveilleuse aventure du vivant et de la manifestation créée de l'intelligence.

 

Malheureusement, cette aventure, comme le laisse sous entendre les chroniques sumériennes et textes bibliques qui en sont l'émanation expurgée et détournée, sera marquée par l'aliénation, la soumission, la souffrance, bref par cet éternel lien " bourreau/victime " ; " abuseurs/tourmenteurs " qui semble être une marque de fabrique de nos sociétés humaines. La Bible, en un retournement d'arguments très machiavélique, en a imputé la faute aux hommes. Le livre d'Anton Parks montre grâce à son récit de ce qui est arrivé aux " Dieux " extraterrestres vénérés par la suite par les Sumériens à quel point il s'agit d'un mensonge. Notre " péché originel " n'est pas nôtre. Nous pourrions dire que nous n'avons rien à voir avec cette histoire puisque nous avons fait les frais d'une guerre entre " Dieux " et plus largement, entre civilisations extraterrestres.


Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi ? Quelles sont les raisons qui ont présidées à l'émergence de cultes monothéistes marqués par la faute originelle, la notion de punition, de soumission, aux concepts de purs et d'impurs ? A cet égard, le second tome répond très bien à ces questions. Il éclaire de façon limpide certains passages de la Bible qui demeurent, pour le pire ou le meilleur des mythes fondateurs de nos sociétés modernes de type essentiellement patriarcale.

" Tu enfanteras dans la douleur et tes désirs se porteront vers ton mari mais il dominera sur toi " (Genèse 3.16). Ces paroles chargées de malédictions sont supposées être celle du Dieu unique créateur de toute chose, Dieu d'amour et de compassion ? La Genèse, texte curieux et cruel contient, selon les croyants et partisans de la Bible toutes les clés pour comprendre comment l'homme est arrivé sur terre et pourquoi il a connu une destinée damnée. Le Dieu biblique a châtié l'humanité et sa postérité pour l'éternité pour un simple " péché " de curiosité intellectuelle, celui d'avoir mangé des " fruits " de l'arbre de la connaissance. Le croyant d'obédiance judéo-chrétienne s'est contenté pendant des millénaires de cette explication du monde. Le livre et l'interview nous offre des perspectives fascinantes à cet égard.


Maintenant, comme nous l'avions déjà mentionné pour le tome 1 se pose le problème de la façon dont l'auteur a collecté ces informations et les a retranscrites. Depuis l'âge de 14 ans et pendant une durée de 10 ans, Anton Parks a été assailli par des visions qu'il ne pouvait contrôler, ordonner, dater. Il pensait au départ recueillir des impressions visuelles sur un avenir improbable. Il lui faudra des années pour mettre de l'ordre dans ce déluge d'informations et surtout leur donner un sens. Lorsqu'il est en contact avec l'écriture et les textes sumérien, tout prend alors tournure et ses visions finissent par acquérir une réelle cohérence. On peut rester totalement sceptique ou hermétique à ce type d'événement. Il reste le texte, les rapports totalement pertinents que l'auteur établit entre ses visions et des passages assez hermétiques des chroniques anciennes, des écrits bibliques ou des textes apocryphes. Le lecteur ne pourra pas non plus échapper au décodage de la langue grâce au syllabaire sumérien.

 

Enfin, Anton Parks nous décrit le fonctionnement des rapports de force entre les soit disant " Dieux " du panthéon sumérien et égyptien en élargissant le tableau vers un colossale bestiaire galactique, un combat extrêmement complexe et fascinant entre de multiples civilisations extraterrestres dont l'identité est codée grâce au syllabaire " Gina-abul sumérien ".

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